Maurice ouvrira le feuilleton du soir en lisant un mail envoyé par JB à Malaga qui concerne le dernier échange sur le dérèglement climatique abordé la semaine dernière. Pour lui, l’homme est en effet à l’origine de l’accélération du dérèglement climatique.
Maurice va donner sa position et pour lui, cet évènement n’est pas du tout induit par le comportement de l’homme. L’idée que la terre puisse de nouveau, devenir totalement inapte à toute forme de vie pour se régénérer n’effraie pas Maurice, bien au contraire. Pour lui, c’est un phénomène naturel sur lequel l’homme n’a pas la main. Pour lui, même si l’on est à condamner à tous mourir, on peut malgré tout réduire la pollution pour vivre mieux, même si c’est moins longtemps.Guillaume appelle pour nous dire que l’on est beaucoup trop nombreux sur la planète et que nous ne changerons pas nos habitudes.Il est inquiet pour son enfant à cause de la montée du variant Delta là où il est, mais pas pour lui. Le virus selon, ne touche que les personnes âgées ou affaiblies. Son enfant a eu un souci de santé récemment et il s’est rendu compte de la difficulté de se faire soigner là où il vit.
Céline lui dit sa surprise sur cette vision qu’il a de se penser à l’abri et en discutant on va comprendre qu’il serait très mal perçu sur place d’être atteint par cette maladie, que les tests sont en plus très chers. En fait, il n’aurait pas les moyens de se soigner et serait en plus mal jugé par la population.Maurice va nous dire que ça se passe de la même manière à Madagascar. Celui qui se fera tester sera le responsable des morts ou des futurs malades et encore plus, quand tu es un étranger du coin.Céline s’interroge malgré ça quant à la position de Guillaume qui semble être totalement défaitiste et dit ne pas avoir envie de bouger. Et le virus serait, en plus, une punition divine pour un Musulman.Guillaume persiste en disant que ce n’est pas aussi dangereux qu’une pluie d’acide et va parler de pourcentage.
Céline va tenter de préciser sa vision sur le dérèglement climatique. Elle va nous dire que l’être humain est fait pour se reproduire et pour survivre. Maurice ne sera pas d’accord et nous dit ne pas comprendre cette notion d’instinct de vouloir faire survivre l’espèce. Céline va demander à Maurice pourquoi il n’accorde pas de crédit aux scientifiques qui ont fait des recherches et publient notamment le rapport du GIEC.Maurice va nous dire qu’il croit ceux que l’on empêcherait de parler et qui nous disent ce que l’on a tous appris à l’école. La planète va changer comme elle l’a déjà fait et c’est inéluctable.
Pour Guillaume, l’être humain ne gagnera pas face à la nature. Et pour lui aussi, de toutes façons il est trop tard, que ce soit du fait de l’homme ou non. Il nous dit avoir vécu différents tremblements de terre et s’est senti totalement impuissant face à ça et a ressenti que la terre bougeait vraiment. C’est resté un fait marquant pour lui pendant plusieurs semaines. Il est également entouré par beaucoup de volcans et cette notion de danger est un peu partout là-bas. Il s’interroge sur les différences de mode de vie entre l’Occident et le reste du monde qui lui semble plus en danger et moins avancé. Pour lui, les conditions climatiques sont moins violentes en Europe. Maurice ajoutera que les différents dictateurs ont joué pour beaucoup dans l’organisation des pays.Les constructions non adaptées aux catastrophes ont également une part importante dans la pauvreté de certains pays ainsi que le manque de réactions adaptées autour de ces catastrophes.
Céline s’étonne d’avoir été remise en question sur ses différents ressentis. Maurice ne sera pas d’accord avec ce qu’elle nous dit et pour lui, la période la plus chaude de l’année à Paris est le moins de juin alors que pour Céline, c’est le mois d’aout. Guillaume s’étonne qu’un mois de canicule puisse déranger Céline et va lui demander si ce n’est pas l’âge qui fait qu’elle ne supporte plus la chaleur. Guillaume et Maurice vont lui demander pourquoi elle aime la Corse puisqu’elle n’aime pas la chaleur. Elle tentera de nous dire que ce sont les canicules qu’elle ne supporte pas.Puis Guillaume se demande s’il faudrait changer nos habitudes de voyages pour éviter la pollution. Céline nous dira qu’à son sens, la multiplication des vols très peu chers ont participé à des lieux envahis par des masses de touristes et sont rarement bénéfiques pour les endroits. Elle va nous parler des coins déserts qu’elle apprécie et Maurice se demande si ça existe encore et lui n’a pas cette vision de la Corse.
Guillaume nous parle de sa future maison où il prévoit d’y mettre des barrières hautes pour éviter que des animaux ou des détritus s’y trouvent. Il nous décrit la saleté des villages et les habitudes qu’ont les gens de tout jeter par terre.Maurice se souvient des bars en France où l’on jetait des mégots par terre.Guillaume regrette d’être totalement tributaire de sa femme pour le moindre déplacement qu’il veut faire, vu l’état des routes mais se dit qu’il a la chance de pouvoir construire sa maison et voir des gens, ce qu’il ne pouvait plus faire du tout en France.
Céline va nous parler de ce qu’elle aime manger et nous dit ne pas comprendre comment on a pu arriver à faire manger aux gens absolument n’importe quoi.Maurice va nous raconter son anecdote sur une panique ressentie dans un MCDO devant la multitude de choix possibles et sa méconnaissance des produits habituels.
Jambon beurre ou MACDO ?
AleX
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Date de disponibilité:
MRL - Maurice c'est la nuit - 2021-06-28 Madagascar
Maurice ouvrira le feuilleton du soir en lisant un mail envoyé par JB à Malaga qui concerne le dernier échange sur le dérèglement climatique abordé la semaine dernière. Pour lui, l’homme est en effet à l’origine de l’accélération du dérèglement climatique.
Maurice va donner sa position et pour lui, cet évènement n’est pas du tout induit par le comportement de l’homme. L’idée que la terre puisse de nouveau, devenir totalement inapte à toute forme de vie pour se régénérer n’effraie pas Maurice, bien au contraire. Pour lui, c’est un phénomène naturel sur lequel l’homme n’a pas la main. Pour lui, même si l’on est à condamner à tous mourir, on peut malgré tout réduire la pollution pour vivre mieux, même si c’est moins longtemps.Guillaume appelle pour nous dire que l’on est beaucoup trop nombreux sur la planète et que nous ne changerons pas nos habitudes.Il est inquiet pour son enfant à cause de la montée du variant Delta là où il est, mais pas pour lui. Le virus selon, ne touche que les personnes âgées ou affaiblies. Son enfant a eu un souci de santé récemment et il s’est rendu compte de la difficulté de se faire soigner là où il vit.
Céline lui dit sa surprise sur cette vision qu’il a de se penser à l’abri et en discutant on va comprendre qu’il serait très mal perçu sur place d’être atteint par cette maladie, que les tests sont en plus très chers. En fait, il n’aurait pas les moyens de se soigner et serait en plus mal jugé par la population.Maurice va nous dire que ça se passe de la même manière à Madagascar. Celui qui se fera tester sera le responsable des morts ou des futurs malades et encore plus, quand tu es un étranger du coin.Céline s’interroge malgré ça quant à la position de Guillaume qui semble être totalement défaitiste et dit ne pas avoir envie de bouger. Et le virus serait, en plus, une punition divine pour un Musulman.Guillaume persiste en disant que ce n’est pas aussi dangereux qu’une pluie d’acide et va parler de pourcentage.
Céline va tenter de préciser sa vision sur le dérèglement climatique. Elle va nous dire que l’être humain est fait pour se reproduire et pour survivre. Maurice ne sera pas d’accord et nous dit ne pas comprendre cette notion d’instinct de vouloir faire survivre l’espèce. Céline va demander à Maurice pourquoi il n’accorde pas de crédit aux scientifiques qui ont fait des recherches et publient notamment le rapport du GIEC.Maurice va nous dire qu’il croit ceux que l’on empêcherait de parler et qui nous disent ce que l’on a tous appris à l’école. La planète va changer comme elle l’a déjà fait et c’est inéluctable.
Pour Guillaume, l’être humain ne gagnera pas face à la nature. Et pour lui aussi, de toutes façons il est trop tard, que ce soit du fait de l’homme ou non. Il nous dit avoir vécu différents tremblements de terre et s’est senti totalement impuissant face à ça et a ressenti que la terre bougeait vraiment. C’est resté un fait marquant pour lui pendant plusieurs semaines. Il est également entouré par beaucoup de volcans et cette notion de danger est un peu partout là-bas. Il s’interroge sur les différences de mode de vie entre l’Occident et le reste du monde qui lui semble plus en danger et moins avancé. Pour lui, les conditions climatiques sont moins violentes en Europe. Maurice ajoutera que les différents dictateurs ont joué pour beaucoup dans l’organisation des pays.Les constructions non adaptées aux catastrophes ont également une part importante dans la pauvreté de certains pays ainsi que le manque de réactions adaptées autour de ces catastrophes.
Céline s’étonne d’avoir été remise en question sur ses différents ressentis. Maurice ne sera pas d’accord avec ce qu’elle nous dit et pour lui, la période la plus chaude de l’année à Paris est le moins de juin alors que pour Céline, c’est le mois d’aout. Guillaume s’étonne qu’un mois de canicule puisse déranger Céline et va lui demander si ce n’est pas l’âge qui fait qu’elle ne supporte plus la chaleur. Guillaume et Maurice vont lui demander pourquoi elle aime la Corse puisqu’elle n’aime pas la chaleur. Elle tentera de nous dire que ce sont les canicules qu’elle ne supporte pas.Puis Guillaume se demande s’il faudrait changer nos habitudes de voyages pour éviter la pollution. Céline nous dira qu’à son sens, la multiplication des vols très peu chers ont participé à des lieux envahis par des masses de touristes et sont rarement bénéfiques pour les endroits. Elle va nous parler des coins déserts qu’elle apprécie et Maurice se demande si ça existe encore et lui n’a pas cette vision de la Corse.
Guillaume nous parle de sa future maison où il prévoit d’y mettre des barrières hautes pour éviter que des animaux ou des détritus s’y trouvent. Il nous décrit la saleté des villages et les habitudes qu’ont les gens de tout jeter par terre.Maurice se souvient des bars en France où l’on jetait des mégots par terre.Guillaume regrette d’être totalement tributaire de sa femme pour le moindre déplacement qu’il veut faire, vu l’état des routes mais se dit qu’il a la chance de pouvoir construire sa maison et voir des gens, ce qu’il ne pouvait plus faire du tout en France.
Céline va nous parler de ce qu’elle aime manger et nous dit ne pas comprendre comment on a pu arriver à faire manger aux gens absolument n’importe quoi.Maurice va nous raconter son anecdote sur une panique ressentie dans un MCDO devant la multitude de choix possibles et sa méconnaissance des produits habituels.
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